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La Porte de France à Marsal
à
Marsal (57)
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Autres petits patrimoines dans le département
57 (Moselle) |
A Sarreguemines, Le Palais de Justice de Sarreguemines

A Metz, L’hôtel de Heu

A Metz, Le Palais de Justice

A Azoudange, Le château de Romécourt

A Vic-sur-Seille, Défense d'évêché!

A Moyenvic, La Porte des Salines Royales

A Thionville, La Tour aux Puces

A Bitche, La Porte de Strasbourg

A Thionville, L'Hôtel de Ville

A Thionville, Les ponts-écluses

A Réchicourt-le-Château, Château de Réchicourt le....

A Chambrey, Gare impériale.

A Sarrebourg, Eclectisme tendance "Jugendstil"

A Thionville, La Porte de Sarrelouis

A Sarralbe, La Porte d'Albe

A Sarralbe, La Maison des Têtes

A Metz, Post puis ...postes.

A Metz, hôtel de Gargan.

A Metz, Zodiaque.

A Metz, Hôtel des Arts et Métiers.

A Metz, L'ancien Palais de la Soie

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Département : Moselle
Arrondissement : Château-Salins
Canton : Vic-sur-Seille
Rubrique : Bâtiment - Chateau et fortification
Code postal : 57630
Date de dépôt : 07/02/2007
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La commune de moins de 300 habitants est située dans le Saulnois au sud du département de la Moselle, à 8 kilomètre au sud-est de Château-Salins. Le Musée départemental du sel est installé à l’étage dans la Porte de France, vestige des fortifications de Vauban. Il évoque l'histoire de Marsal ancienne place forte mais raconte aussi l'histoire de "l'or blanc" (le sel) à travers les techniques de production de la Préhistoire à nos jours. En effet, le site de Marsal était à l'origine un marais entouré par deux bras de la Seille. Ce village situé sur l'ancienne voie romaine de Metz à Strasbourg a été marqué par l'exploitation du sel, très abondant dans le sous-sol. Marsal est ainsi construite sur un radier artificiel, le briquetage de la Seille, issu d'une technique d'extraction du sel des sources salées de cette région, résurgences d'une couche de sel du trias supérieur (Keuper) aux époques celtique et gauloise avant l'occupation romaine. Les briquetages sont, à la fois, des récipients en argiles qui servaient à faire bouillir la saumure sur des fours à feux de bois et les bâtonnets d'argile cuite dont l'assemblage permettait une partie de l'évaporation de cette saumure. Une fois le sel cristallisé, on cassait le briquetage pour récupérer le pain de sel. La technique fut progressivement abandonnée après l'introduction de la "poêle à sel" par les Romains. Numéro du petit patrimoine : 57448_1
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