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Abbaye de La Sauve Majeure.
à
Sauve (La) (33)
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Autres petits patrimoines dans le département
33 (Gironde) |
A Créon, Notre-Dame de Créon

A Camiran, Eglise Romane St Pierre de Camiran

A Coutures, Portail Roman de St Cibard

A Camblanes-et-Meynac, Eglise Ste Eulalie de Camblanes

A Camblanes-et-Meynac, Chapelle romane St Pantaléon de Meynac

A Créon, Eglise Romane de St Caprais

A Cambes, Eglise romane StMartin de Cambes

A Bordeaux 2e, Eglise St Ferdinand: facade

A Vertheuil, L'abbaye de Vertheuil

A Saint-Estèphe, L'église de Saint-Estèphe

A Montignac, Eglise romane St Medard de Montignac

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A Petit-Palais-et-Cornemps, Mystérieuse Notre Dame de Cornemps

A Naujan-et-Postiac, Notre-Dame de Postiac

A Roquebrune, Chapelle St Jean de Roquebrune

A Naujan-et-Postiac, Eglise fortifiée St Pierre de Naujan

A Bordeaux 3e, Eglise St Rémi

A Bazas, Notre Dame du Mercadilh

A Arbis, L'église d'Arbis

A Bourg, Eglise de la Libarde et sa crypte

A Artigues-près-Bordeaux, Eglise Romane St Seurin d'Artigues

A Baron, Eglise StChristophe de Baron et sa crypte

A Cadarsac, Eglise Templière de Cadarsac

A Bagas, Fresques et sculptures de ND de Bagas

A Saint-Laurent-d'Arce, Eglise fortifiée aux 4 échauguettes

A Saint-Laurent-d'Arce, Chapelle Templière Ste Quitterie de Magrigne

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A Berson, Eglise romane St saturnin de Berson

A Aillas, Aillas : église N.D.

A Sigalens, Sigalens : N.D. d’Aillas le vieux. (12ème siècle)

A Sigalens, Sigalens : Saint-Martin de Montclaris.

A Lados, Lados : l’église St Martin

A Bordeaux 7e, l'église néo-médiévale Sainte-Marie de La Bastide - Extérieur

A Bordeaux 7e, Eglise Sainte-Marie de la Bastide - intérieur

A Mauriac, Eglise Templière St Saturnin: extérieur

A Mauriac, Eglise romane StSaturnin: Intérieur

A Lamarque, Eglise Saint-Seurin de Lamarque

A Saint-Macaire, Saint Macaire (33) /7 : Eglise Saint Sauveur (extérieur).

A Saint-Macaire, Saint Macaire (33) /8 : Eglise Saint Sauveur (Intérieur).

A Grignols, Grignols : St Michel de Campin

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A Grignols, Grignols : L'église N.D. de Sadirac

A Grignols, Grignols : L'église Saint-Loubert de l'Outrange

A Masseilles, Masseilles : St Martin.

A Masseilles, Masseilles : St Martin de Thil.

A Nérigean, Une église fantôme?

A Arbanats, Eglise saint Hippolyte - sainte Radegonde

A Lèves-et-Thoumeyragues (Les), l'église Saint Pierre es Liens (extérieur)

A Lèves-et-Thoumeyragues (Les), Eglise Saint Pierre es Liens (intérieur)

A Arcachon, Souvenirs Robert Martin

A Bordeaux 2e, Eglise St Ferdinand: intérieur

A Loubens, Eglise Romane StVincent de Loubens

A Baurech, Eglise de Baurech: les vitraux

A Bordeaux 3e, La légende de Saint Seurin

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Département : Gironde
Arrondissement : Bordeaux
Canton : Créon
Rubrique : Religieux - Eglise ou chapelle
Code postal : 33670
Date de dépôt : 28/02/2007
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Ruines prestigieuses, gigantesque musée de la sculpture romane, c’est le 29 octobre 1079 que St Gérard fonde l’abbaye avec une quinzaine de moines. La première pierre est posée le 11 mai 1080. Nouvelle étape sur la route de Compostelle, l’abbaye compte 300 religieux en 1095 qui ont créé vingt prieurés dans le secteur. (Il y en aura jusqu’à 70 !). Grassement sollicitée par Edouard d’Angleterre pour lui garantir une relative quiétude, c’est en 1179 que Basques et Navarrais pillent l’abbaye. Reconstruite 52 ans plu tard, elle recouvre toute sa puissance pour deux siècles de travail et de splendeur. En 1356 Jean Roi de France y séjourne, prisonnier du Roi d’Angleterre. Après une tentative de Bernard Angevin en 1417 pour confisquer fiefs et pourvoir, c’est sous François Premier que les « premiers cadets » des grandes familles, ecclésiastiques par obligation,, héritèrent des plus riches abbayes et en profitèrent jusqu’à leur ruine. Tel fut le sort de La Sauve. En 1660, la congrégation de St Maur tente de lui rendre vie. C’est l’échec et « la terreur » tire un trait sur la vie monastique. En 1793, l’abbaye confisquée devient prison. En 1809 les voûtes de l’abbatiale s’effondrent. Devenue carrière de pierre, en 1837 l’évêché de Bordeaux rachète les ruines et installe un collège dans les bâtiments claustraux qui brûle en 1910. Le département entreprend une restauration en 1950 avec l’aide des monuments historiques, projet pharaonique pris en charge par l’état en 1960.
La plus belle ruine de France! Numéro du petit patrimoine : 33505_1
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