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555 à Rembercourt-Sommaisne (55)

 

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(Meuse)

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A Hauts-de-Chée (Les), 555


A Givrauval, 555



Département : Meuse
Arrondissement : Bar-le-Duc
Canton : Vaubecourt
Rubrique : -
Code postal : 55250
Date de dépôt : 24/06/2008



555

La chronique de Vigneulles nous apprend que "la belle église de Rembercourt" a été construite en 1500, en même temps que l'église saint Étienne à St Mihiel. D'après M. Lemoine, auteur de la Géographie de la Meuse, cet édifice aurait été consacré en 1615.
Cette église eut pour mécène constructeur le cardinal Louis de Bar, neveu de Charles V par sa mère Marie de France. Après la guerre de Cent ans, Rembercourt ne possédait plus d'église. Tant par piété pour saint Louvent que par vues politiques, Louis de Bar remplaça l'église en ruines par la basilique de stylisation gothique flamboyante. Il mourut avant d'avoir achevé son œuvre, mais par testament, laissa les sommes nécessaires pour la construction du grand porche.
Ce porche, avec son grand portique et ses deux portillons Renaissance, n'a pu être achevé par suite des guerres, dont celle d'un siècle qui suivit la guerre de Cent ans anglo-française.
A la mort du roi René II de Lorraine, l'ouvrage dut être définitivement abandonné et la tour de droite qui abrite l'escalier hélicoïdal menant au clocher, couverte par un appentis.

Le bandeau à la romaine au-dessus des quatre contre-forts flamboyants de la façade ouest (2e photo de cette fiche) présentent saint Pierre et saint Paul au centre, les gens de métiers et d'agriculture, les démons, les Dames et Messieurs de Lorraine, des animaux symboliques, le Temps, la Mort et l'Église personnifiée par une femme.

Sur la 4e photo, nous distinguons deux blasons armoriés des princes bienfaiteurs, effacés par signe révolutionnaire.

La chronique de Vigneulles nous apprend que "la belle église de Rembercourt" a été construite en 1500, en même temps que l'église saint Étienne à St Mihiel. D'après M. Lemoine, auteur de la Géographie de la Meuse, cet édifice aurait été consacré en 1615.
Cette église eut pour mécène constructeur le cardinal Louis de Bar, neveu de Charles V par sa mère Marie de France. Après la guerre de Cent ans, Rembercourt ne possédait plus d'église. Tant par piété pour saint Louvent que par vues politiques, Louis de Bar remplaça l'église en ruines par la basilique de stylisation gothique flamboyante. Il mourut avant d'avoir achevé son œuvre, mais par testament, laissa les sommes nécessaires pour la construction du grand porche.
Ce porche, avec son grand portique et ses deux portillons Renaissance, n'a pu être achevé par suite des guerres, dont celle d'un siècle qui suivit la guerre de Cent ans anglo-française.
A la mort du roi René II de Lorraine, l'ouvrage dut être définitivement abandonné et la tour de droite qui abrite l'escalier hélicoïdal menant au clocher, couverte par un appentis.

Le bandeau à la romaine au-dessus des quatre contre-forts flamboyants de la façade ouest (2e photo de cette fiche) présentent saint Pierre et saint Paul au centre, les gens de métiers et d'agriculture, les démons, les Dames et Messieurs de Lorraine, des animaux symboliques, le Temps, la Mort et l'Église personnifiée par une femme.

Sur la 4e photo, nous distinguons deux blasons armoriés des princes bienfaiteurs, effacés par signe révolutionnaire.

La chronique de Vigneulles nous apprend que "la belle église de Rembercourt" a été construite en 1500, en même temps que l'église saint Étienne à St Mihiel. D'après M. Lemoine, auteur de la Géographie de la Meuse, cet édifice aurait été consacré en 1615.
Cette église eut pour mécène constructeur le cardinal Louis de Bar, neveu de Charles V par sa mère Marie de France. Après la guerre de Cent ans, Rembercourt ne possédait plus d'église. Tant par piété pour saint Louvent que par vues politiques, Louis de Bar remplaça l'église en ruines par la basilique de stylisation gothique flamboyante. Il mourut avant d'avoir achevé son œuvre, mais par testament, laissa les sommes nécessaires pour la construction du grand porche.
Ce porche, avec son grand portique et ses deux portillons Renaissance, n'a pu être achevé par suite des guerres, dont celle d'un siècle qui suivit la guerre de Cent ans anglo-française.
A la mort du roi René II de Lorraine, l'ouvrage dut être définitivement abandonné et la tour de droite qui abrite l'escalier hélicoïdal menant au clocher, couverte par un appentis.

Le bandeau à la romaine au-dessus des quatre contre-forts flamboyants de la façade ouest (2e photo de cette fiche) présentent saint Pierre et saint Paul au centre, les gens de métiers et d'agriculture, les démons, les Dames et Messieurs de Lorraine, des animaux symboliques, le Temps, la Mort et l'Église personnifiée par une femme.

Sur la 4e photo, nous distinguons deux blasons armoriés des princes bienfaiteurs, effacés par signe révolutionnaire.

Numéro du petit patrimoine : 55423_1


le rond point



1



1



Stalles portées par des pieds d'oiseaux, provenant de l'abbaye de St Hoïlde



Saint Nicolas, couronnement du petit porche nord



Voûte de l'arrière-choeur: tête de St Louvent portée dans les griffes de l'aig



Stalles du XVIII° portées par des pieds d'oiseaux, provenant



Stalles du XVIII° portées par des pieds d'oiseaux, provenant








 
Localisation de la commune :

 
 
   
       
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