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L'église Saint-Sauveur de Dinan
à
Dinan (22)
Autres petits patrimoines dans le département
22 (Cotes d'Armor )
A Plérin, La Croix Mérovingienne
A Dinan, Le couvent des Cordeliers
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A Île-de-Bréhat, L’ancienne chapelle Saint-Riom
A Île-de-Bréhat, Chapelle Notre-Dame de Kéranroux à Bréhat
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A Saint-Jacut-de-la-Mer, L'église Notre-Dame
A Ploubazlanec, La Tour de Kerroc'h.
A Plouha, La chapelle de Kermaria an Iskuit (extérieur).
A Plouha, La chapelle de Kermaria an Iskuit (intérieur)
A Paimpol, La chapelle de Lanvignec.
A Lanmodez, Lanmodez : chapelle de Kermassac'h
A Tréguier, Le calvaire de protestation.
A Paimpol, La chapelle Notre-Dame de Kergrist.
A Trédarzec, La chapelle Notre-Dame de Traou-Meur.
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A Roche-Derrien (La), La chapelle du calvaire.
Département : Cotes d'Armor
Arrondissement : Dinan
Canton : Dinan-Est
Rubrique : Religieux - Eglise ou chapelle
Code postal : 22100
Date de dépôt : 11/04/2016
Vers 1112, un jeune et audacieux chevalier, Rivallon le Roux, partit pour la croisade et se battit avec bravoure en Palestine. Lors de la bataille, il fit un vÅ“u, s’il revoyait Dinan, d’y bâtir une église vouée à la Sainte Trinité : Saint-Sauveur. De retour à Dinan, il entreprit la construction du sanctuaire. Certaines parties romanes d’époque sont encore visibles sur l’édifice : le porche d’entrée composé de trois arcades qui séparent cinq colonnettes richement sculptées ; le lion et le taureau en surplomb du portail et les quatre statues des arcades collatérales ; la cuve en granit des fonds baptismaux… A partir de 1480, on commença à agrandir Saint-Sauveur en élargissant la nef, en élevant, côté nord, un bas-côté de style ogival, flanqué de cinq élégantes chapelles. La partie supérieure de la façade fut abattue, puis rebâtie et dotée d’une large baie. On poursuivit par la construction des deux bras du transept, puis en 1507, par la mise en place du chÅ“ur, du déambulatoire et de ses neufs chapelles rayonnantes ; l’ensemble de la construction se déroulant sur 150 ans ! Devenue, durant la Révolution, le Temple de l’Etre suprême, puis grange à foin, l’église fut rendue au culte en 1800. Le sauvetage de l’ouvrage délabré se poursuivit jusqu’au Second Empire. Au XX° siècle, l’église fut érigée en basilique ; des vitraux modernes, dus au maître verrier Louis Barillet furent placés en 1942. Source : extrait de la brochure explicative en place dans l'église. Numéro du petit patrimoine : 22050_3
Façade d'entrée
Portail roman
La nef
Le choeur
Bas-côté roman (gauche)
Bas-côté gothique (droit)
Localisation de la commune :