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Le monument aux morts de la Grande Guerre
à
Soissons (02)
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Autres petits patrimoines dans le département
02 (Aisne) |
A Château-Thierry, Le rond-point de la cigale et la fourmi

A Laon, Les monuments aux morts, aux victimes et aux héros

A Saint-Quentin, Le vestibule de l'Hôtel de Ville

A Saint-Quentin, La salle des mariages de l'Hôtel de Ville

A Saint-Quentin, Les lampes Art Déco de l'Hôtel de Ville

A Château-Thierry, Le vieux château et le chemin de ronde

A Coincy, Notre-Dame de l'Assomption

A Blérancourt, Eglise Saint Pierre -ès Liens (exterieur )

A Bellicourt, Le tunnel de Riqueval et son toueur

A Laon, La chapelle des Templiers

A Saint-Quentin, L'arbre de Jessé de la basilique de St Quentin

A Blérancourt, La fontaine de l'Enfant au Poisson

A Château-Thierry, Le jardin des Petits Prés, des siècles de fêtes et de plaisirs.

A Château-Thierry, Les sculptures du jardin des Petits Prés

A Esquéhéries, L’église Saint Martin ou le Fort Rouge d’Esquéhéries

A Laon, Les tombeaux médiévaux de l'église Saint Martin

A Laon, La chaire à prêcher de la cathédrale

A Laon, La rose des Arts Libéraux (Cathédrale Notre-Dame de Laon)

A Château-Thierry, La Paye

A Saint-Quentin, A St Quentin, l’Art déco à la poste

A Wimy, Balade Wimy-la-Rouge : Église St Martin (extérieur).

A Saint-Quentin, Pignons Art-Déco, place de l’Hôtel de ville et rue Émile Zola.

A Wimy, Balade à Wimy-la-Rouge : Le lavoir.

A Saint-Michel, L'Abbaye de Saint-Michel en Thiérache

A Saint-Quentin, Art nouveau et Art déco rue Raspail et Adrien Nordet

A Château-Thierry, La fontaine Gerbrois

A Saint-Quentin, Le Monument aux Morts de St Quentin

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Département : Aisne
Arrondissement : Soissons
Canton : Soissons-Sud
Rubrique : Commémoratif - Mémoire de guerre
Code postal : 02200
Date de dépôt : 29/07/2014
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Ce monument est au centre de la place Fernand Marquigny. GPS : 49°22'51" N / 3°19'37" E
La place tient son nom de Fernand Marquigny, maire de Soissons de 1919 à 1942, qui hérita d’une ville détruite à 80% après la Première Guerre Mondiale. Ce monument à l'origine, en 1914, devait être un monument commémorant l'histoire de la ville. Mais il finit par devenir le monument aux morts de la Grande Guerre, à son achèvement en 1926. Il a été offert à sa ville natale par madame Louis Pétrot, née Hélène Labarre (1861-1942). Une dédicace précise : "A Soissons immortelle - à ses enfants tombés glorieusement pour la Patrie". Ce monument en forme de pyramide à 3 degrés a été sculpté par Albert Bartholomé (1848-1928) pour les statues et par Raoul Lamourdedieu (1877-1953) pour les bas-reliefs. Au sommet, 4 allégories portent une flamme. Sur les faces du monument alternent des dédicaces et des listes de noms de victimes avec des bas-reliefs ayant pour thème, en partie haute : - Des poilus avec leur équipement. - Une femme ailée, allégorie de la victoire. En partie basse : - Le roi Charles VII et Jeanne d'Arc entrant dans Soissons le 23 juillet 1429. - Le célèbre épisode du Vase de Soissons en 486. - Une scène d'évacuation de la ville sous les bombardements. Autour de la colonne, 4 statues se dressent : - 2 poilus en capote avec leur fusil. - Un bourgeois tenant un parchemin. L'inscription à ses pieds : " 1181, abolition des servitudes féodales à Soissons". - Un soldat tenant une épée. L'inscription à ses pieds : "923, carolingien défenseur de Soissons, capitale franque". Numéro du petit patrimoine : 02722_4
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